La crise qui secoue la chambre haute du parlement au sujet d’une prétendue motion de défiance initiée contre Samy Badibanga par les sénateurs du FCC dont l’initiateur serait le questeur du sénat, Éric Rubuye dans l’optique de contrecarrer Samy Badibanga contre ses camarades membres du bureau, continue à défrayer la chronique.
Dans une déclaration faite le dimanche 31 janvier 2021, dix organisations de droit de l’homme appellent le Président de la République, Félix Tshisekedi de tout mettre en oeuvre pour garantir la sécurité et le droit du questeur du Sénat Eric Rubuye, menacé de mort.
« Les organisations des défense des droits de l’homme et les mouvements citoyens dénoncent ces méthodes staliniennes et demandent au président de la république de tout mettre en oeuvre pour garantir la sécurité et le droit du questeur du sénat. Elles prennent a témoin la communauté internationale et leur demandent de s’impliquer pour garantir la protection du questeur du sénat aujourd’hui traqué », à dénoncé Me Willy Wenga.
Ces organisations non gouvernementales de défense et de promotion des droits de l’homme, mouvements citoyens de la société civile de la RDC se dissent suivre avec beaucoup d’attention, les cris de détresse et d’alarme sur l’honorable Eric Rubuye, questeur du sénat.
Pour ces organisations, les allégations de blanchiment d’argent montées contre Éric Rubuye par des officines politiques pour des raisons probablement de règlement des comptes, de reconfiguration politique actuelle, frisent non seulement la persécution mais aussi met en mal l’État de droit pourtant prôné par le Chef de l’Etat.
Blanchard Pataoli