Depuis plusieurs mois, l’économie de la province du Nord Kivu semble courir des risques énormes suite aux attaques et campagnes de diabolisation des certains enfants égarés et autres acteurs politiques de la province en mal de positionnement en l’occurrence Djimy Nziali s’octroyant la casquette des mouvements citoyens.
Au cours des investigations menées par votre rédaction, il s’observe que ce groupe tente à décourager certains investisseurs et quelques initiatives locale dans le secteur industriel et minier en vue d’agenouiller la province pourtant tirant profit des taxes et impôts payés par ces contribuables au cœur d’une promotion de l’industrie locale en vue de faire la politique de ses moyens.
Notre sources renseignent également qu’au départ ces jeunes militants transformés en véritable objet de tracasserie de plusieurs investisseurs locaux et étrangers s’étaient attaqués aux usines locales de production des vins pourtant disposant des titres d’autorisation de fonctionnement délivrés par l’état congolais, une manière de plus de décourager ces initiatives locales constituant ainsi de manque à gagner pour la province. Ensuite les sociétés minières jouant ainsi de pyromane dans plusieurs conflits entre les différents détenteurs des sociétés minières dans la province du Nord Kivu et percevoir des sommes d’argent auprès des sociétés qui se sentiront appuyées par ces jeunes en pleine dérive en vue d’étouffer la politique économique et industrielle du Nord Kivu qui se veut émergeante et prospère.
Après toutes ces manœuvres sous le regard inaperçu de l’autorité provinciale qui peut-être ne s’est jamais rendu compte du danger que court l’économie de la province et son système industriel, l’équipe de Djimy Nziali Lumangabo qui s’est constitué en élément dangereux pour la province s’est présentement attaquée aux grandes entreprises de promotion de l’industrie locale et dont le cas le plus récent est celui d’une pétition de récolte de plus de 100 000 signatures en vue de contester la fabrication des boissons alcoolisées de la société Premidis Sarl accusées à tort et à travers de pourcentage élevé d’alcool, au profit d’une autre Société Rwandaise produisant les boissons à forte dose d’alcool dénommées « speranza » qui est d’ailleurs sur le marché de Goma jusqu’à l’intérieur de la Province du Nord Kivu sans autorisation ou encore en violation des textes et lois en matière fiscale.
Ces jeunes auraient même perçu l’argent d’une société Rwandaise de production des boissons à forte dose d’alcool susnommées dans l’objectif de mener une guerre contre la Société Premidis Sarl et la contraindre à fermer pour enfin d’élargir les activités de commercialisation de ces boissons fortement alcoolisées appelées « sapilo » à l’Est de la RDC par cette société Rwandaise en complicité avec certains enfants du pays qui constituent un danger permanent pour l’économie et les investissements de la province.
Un analyste libre rencontré par votre rédaction éclairci sur la taille du récipient et le taux d’alcool retrouvés dans les produits du genre sur le marché congolais et précise que la dite pétition initiée par le nommé Djimy Nziali ancien membre du Bloc Uni pour la Renaissance et l’émergence du Congo (BUREC) et ancien agent du gouvernement provincial qui veut emballer certains mouvements citoyens dans sa lutte erronée et ambigüe pour des intérêts égoïstes et irréfléchis vise non seulement à vouloir ternir l’image et à diaboliser cette entreprise qui s’est engagée pendant 21 ans pour le bien être socio-économique de la population congolaise mais aussi vouloir fléchir la Province sur le plan fiscal en terme de payement des impôts, taxes, droits et redevances.
« Je dois vous avouer que le bénéfice d’un fabriquant de liqueur est tributaire du pourcentage qu’il met dans sa liqueur, c’est-à-dire plus le pourcentage est élevé moins le producteur gagne et moins le pourcentage est bas plus le producteur gagne. Certains producteurs inscrivent 40% sur la bouteille (le standard mondial en la matière) alors qu’en réalité c’est 38% ou 39%.Ceci pour répondre à ceux qui pensent que les fabricants mettent un pourcentage d’alcoolémie supérieur à celui indiqué sur la bouteille. Il n’y a qu’en RDC dans la région ou la quantité minimum autorisée est de 300 Ml, d’autres pays même 100 ml sont autorisés. Donc la RDC fait encore d’énormes efforts dans la limitation à l’accès facile et devrait d’ailleurs décourager ces importations afin de promouvoir la production locale. A Kinshasa par exemple, vous verrez des produits tels que Indica, Lion Gold, Black Stallion et même les petits sachets comme Kizomba ou Café Roum tous en 100 ml fabriqués par plusieurs pays étrangers entre autre l’Angola » indique cet analyste indépendant.
Poursuivant sa réflexion, notre interlocuteur ajoute que c’est trop imprudent surtout pour les intellectuels particulièrement les jeunes des mouvements citoyens de récuser quelque chose dans un domaine dont l’on n’a pas des connaissances avérées. Selon lui, s’attaquer aux produits locaux confirme la thèse selon laquelle nul n’est prophète chez-soi d’autant plus qu’ils n’ont pas attaqué Johnnie Walker, Chivas, Jamerson, Amarula, Cognac etc, pourtant tous avec 40% d’alcoolémie contrairement aux produits locaux et que toutes ces boissons étrangères sont embouteillées dans des petites bouteilles de 100ml et sont d’ailleurs piratés.
Ces opérateurs économiques œuvrant dans le secteur industriel comme dans le secteur artisanal méritent une attention particulière et un appui considérable de la part du gouvernement congolais vu leur apport à l’essor et au développement de la province du Nord Kivu à travers la réduction du taux de chômage à travers leurs différents domaines.
Ce constat de votre rédaction devra faire l’objet de toutes les réflexions au sujet de la motivation de toutes les démarches entreprises par cette bande à NZIALI si ce n’est autre qu’affaiblir le circuit économique de la Province, sortie des plusieurs situations d’instabilité.
A la rencontre de certains opérateurs économiques locaux œuvrant dans le domaine industriel en Province, ils sollicitent l’implication du Gouverneur de province pour qu’il se saisisse du cas Djimy NZIALI avant qu’ils ne passent à la vitesse supérieure par des mouvements de grève et autres voies et actions de revendication qui constitueraient certes un manque à gagner pour la province à cause d’une brebis galeuse animée de l’intention de fléchir le Nord Kivu.
Altesse Owandji
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