SUD-KIVU/ INFRASTRUCTURES : Reprise du trafic sur le nouveau pont KAVUGUVUGU construit par l’Office des Routes sur la RN5 (tronçon Kamanyola-Uvira)

Six mois depuis le lancement des travaux par le Gouverneur intérimaire Marc Malago ont suffit aux techniciens de l’office des routes pour achever les travaux de remise en état du pont KAVUGUVUGU sur la RN5 ( Tronçon Kamanyola-Uvira) après que ce dernier se soit effondré au mois de Février de cette année.

A cet effet, le trafic a effectivement repris sur ce nouveau pont, tel que le confirme notre reporter sur place dans la plaine de la Ruzizi. Ce pont construit en dalot à béton armé peut supporter des gros tonnages à la satisfaction des usagers.

Photos: Avant les travaux ( Démolition de l’ancien Pont effondré)

Actuellement, les véhicules peuvent à nouveau emprunter ce pont qui a été réalisé par la Brigade d’entretien 502 de l’office des routes, dirigée par l’ingénieur Yves KINKUNDA Kivoluka, sous la supervision permanente du Directeur Provincial de l’office des routes Sud-Kivu, l’ingénieur Alain MUGANGU Cirhalwirwa.

Photos: Pendant les travaux

Notons que ce pont qui se compte parmi 3 autres en chantier actuellement sur ce même tronçon a été construit grâce à la volonté du Chef de l’Etat Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO et l’implication personnelle du Ministre national des Infrastructures Travaux Publics et Reconstructions ( ITPR) Alexis GISARO et celle du Directeur Général de l’Office des routes, le Professeur Jeanneau KINKANGALA.

Photos: Finissage des travaux de construction du pont KAVUGUVUGU

Il est à noter que sur les 4 ponts en chantier sur le tronçon Kamanyola-Uvira sur la RN5, actuellement les travaux sur trois ponts (Kakenge, Sange et Bikamba) sont arrêtés momentanément par manque des fonds nécessaire pour leurs achèvement. C’est ainsi qu’un appel est lancé auprès du Gouvernement central afin de débloquer le complément des fonds pour achever le reste des travaux avant que la pluie ne détruise les ouvrages déjà entamés.

Pour rappel, ces travaux sont réalisés grâce au financement du gouvernement central par l’entremise du FONER, sous la surveillance et le contrôle du BTC.

Thomas HEMEDI