Élu de la ville de Bukavu, Didier Okito a commencé son parcours comme acteur social sans aucune couleur politique. Il a posé plusieurs actions sociales dans la ville de Bukavu sous le label de sa fondation qui existe et qui agit d’ailleurs jusqu’aujourd’hui.
Il a été obligé de se ranger dans un parti de la majorité présidentielle face à la conteigence de la loi électorale qui ne donnait pas de chance à un indépendant de se classer en ordre utile aux élections.
Ainsi, cet acteur social obligé aujourd’hui d’observer passivement le comportement de la classe politique de la RDC, donne un conseil à quiconque voudra bien l’écouter.
Dans un tweet au sujet du dédoublement des formations politiques au pays, Didier Okito dit ceci: » le FCC en dédoublement, triste réalité de la politique Congolaise. Aussi longtemps que l’expression et la participation libre ne seront pas introduite dans nos partis et regroupements politiques, cette situation perdurera. Ce n’était pas de l’invention ou de la méchanceté du régime passé.
On est sociétaire dans un parti politique. Les personnalisations des partis demeurent un danger pour notre jeune démocratie ».
Au regard de ce qui précède, Didier Okito demeure inébranlablement attaché à ses frères et soeurs du Sud-Kivu qui lui ont témoigné attachement et confiance. Pour lui servir Bukavu passe au-delà de toute considération politique de quelque bord que ce soit.
Jean Serge Borauzima
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