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SUD-KIVU/ POLITIQUE: L’honorable Didier Okito Lutundula Yuhe, un fils et notable incontestable et incontesté du Sud-Kivu

Dans un message attribué à un certain Patrice Byaombe Faradja, diffusé dans les réseaux sociaux, l’auteur de ce texte xénophobe commandé par des officines politiques connus de Kinshasa pour nuire à la réputation de certains fils du Sud-Kivu soit disant qu’ils seraient non originaire de la Province.

Loin de faire l’amalgame, la personne visée par ce texte est bel et bien l’honorable Didier Okito Lutundula, croyant qu’il ambitionerait un quelconque poste Provincial. Le croyant potentiel challenger, des laboratoires ont étés installés dans des salons à Kinshasa et à Bukavu pour prétendre détourner l’affection que la population de Bukavu à l’endroit de son élu.

Malheureusement, ceux qui montent ce plan contre Didier Okito ne le connaisse pas et ne connaissent pas l’histoire de la Ville de Bukavu encore moins du Sud-Kivu qu’ils viennent de découvrir à peine.

Qui ignore que Didier Okito est un garçon de Katana? S’il était question de le prouver, l’honorable Modeste Bahati Lukwebo, actuellement Président du Sénat serait le témoin privilégié car leurs résidences à Katana sont voisines.

Pour rafraîchir la mémoire de ceux qui l’ignorent, Didier Okito Lutundula est né un certain 9 Septembre 1976 à Katakokombe dans l’actuelle Province du Sankuru d’un père fonctionnaire de l’Etat.

En 1978, sa famille décida de s’installer  avec lui au Sud-Kivu et très précisément dans son village de Katana.

Didier Okito passe ainsi toute son enfance comme tous les autres enfants  à Katana où il fit d’ailleurs ses etudes primaires et secondaire respectivement à l’Ecole Primaire Mwanda et à l’Institut  Kayandja, avant de rejoindre la Ville de Bukavu pour poursuivre le reste de ses études, ville qu’il ne quittera plus jusqu’à son élection par la population de Bukavu comme Député National en 2018. Ceux qui ignorent ce parcours peuvent interroger Monsieur Thaïs Bagula Zihindula, Directeur de la radio Maendeleo de Bukavu et bien d’autres jeunes de son époque.

A ce titre, Didier Okitio est un vrai Garcon BK (jargon pour signifier tout jeune ayant été né et garandi dans la ville de Bukavu).

En 2001, il sera engagé comme membre du pool financier de l’Assemblée Provinciale du Sud-Kivu ;

En 2006 DOL est nommé Directeur financier et Patrimoine d’une Entreprise Privée de sous-traitance de main d’œuvre DIPHIL (Première Société de sous-traitance de Banro Congo jusqu’en 2010).

En 2011, il créa ses propres Sociétés de sous-traitance comme Namoya Lamuka et 3K Business, toutes deux partenaires de Namoya Mining où il fut lui-même DG.

En 2018, il inaugura son Hôtel « Rivière Ruzizi », une entreprise prestigieuse qui fait aujourd’hui la fierté de la Ville de Bukavu.

Dans la foulée, il créa  la Fondation Didier Okito Lutundula DOL en sigle, une structure à caractère caritative qui lui permis de se familiariser avec toutes les couches sociales du Sud-Kivu en général et celles de Bukavu en particulier et d’etre hisser au rang d’Ambassadeur pour la Paix à trois reprise.

Comme dirigeant sportif, Didier Okito été élu President de l’OC Muungano, l’une des meilleures équipes de l’Est de la RDC.

Dans ce même chapitre il fut élu Président du BC Wolves, une équipe de basketball dont il est membre d’honneur jusqu’aujourd’hui.

En 2018, il est elu deputé National deuxième en terme des suffrages après l’Honorable Vital Kamerhe dans la Ville de Bukavu.

Qui est plus fils du Sud-Kivu que cet homme avec ce parcours éloquent ?

Aujourd’hui, rien ne peut arrêter l’attachement de la population de Bukavu vis-à-vis de son élu, celui qui jour et nuit ne réfléchi que développement de la Ville de Bukavu en particulier et la Province du Sud-Kivu en général.

Didier Okito est l’un des rares jeunes politiciens du Sud-Kivu qui entretien d’excellentes relations avec tous ses notables et acteurs politiques.

Vouloir aujourd’hui monter des scénarios tendant à dénier l’appartenance de Didier Okito Lutundula à la Province du Sud-Kivu, c’est cracher sur l’honneur des milliers d’électeurs, femmes, hommes et jeunes qui l’avait élu et qui placent leur confiance en lui.

Ainsi, pour tout dire, la Province du Sud-Kivu n’a pas besoin des discours xénophobes et divisionistes, car cette Province plus que toutes les autres a besoins des mains de tous ses fils et toutes ses filles, mais aussi de toutes les personnes d’où qu’elles sont venues et qui ont choisies le Sud-Kivu comme leur résidence pour son décollage.

Jean Serge Borauzima


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