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KINSHASA/ SOCIÉTÉ : À TSHANGU Me Patient BASHOMBE échange avec plus de 500 femmes de la Fondation FMN sur la cohésion sociale et l’autonomisation féminine

Plus de cinq cents femmes de la Fondation Fondation Mamy Ngalula ( FMN)  se sont réunies ce week-end dans la commune de Tshangu pour un échange citoyen exceptionnel avec Me Patient Bashombe, acteur majeur de la société civile et coordonnateur de la Dynamique communautaire pour la cohésion sociale et le développement.

L’objectif principal de cette rencontre : renforcer la cohésion sociale, encourager la participation des femmes dans les processus décisionnels et promouvoir leur autonomisation socio-économique.

Dans un climat de grande écoute, Me Bashombe a insisté sur la responsabilité des femmes dans la stabilisation des communautés, soulignant que la cohésion sociale ne peut être effective que lorsque les femmes, véritables piliers des familles et des quartiers, prennent part activement à la gestion des enjeux locaux.

Il a également rappelé que les femmes de Tshangu, souvent confrontées à des défis économiques et sécuritaires, jouent un rôle déterminant dans la prévention des conflits et la consolidation de la paix.

Devant un auditoire enthousiaste, Me Bashombe a insisté sur la nécessité d’investir davantage dans l’entrepreneuriat féminin et dans des initiatives de formation afin de briser le cycle de dépendance économique.

« Une femme autonome est une femme libre, forte et capable d’assurer la stabilité de sa communauté », a-t-il déclaré, appelant les institutions publiques et privées à soutenir les initiatives économiques portées par les groupements féminins.

Les femmes de la Fondation FMN ont partagé leurs expériences et défis quotidiens, notamment en matière d’accès au financement, de formation professionnelle, de sécurité et d’inclusion sociale.

Cet échange a permis de valoriser les efforts de la Fondation FMN, très active dans l’accompagnement des femmes de Tshangu à travers :

  • des programmes de formation ;
  • des activités génératrices de revenus ;
  • des initiatives de solidarité communautaire ;
  • et des actions d’éducation civique.

Le leadership féminin et l’importance des réseaux communautaires ont été mis en avant comme outils essentiels pour renforcer non seulement les foyers, mais aussi tout le tissu social de la capitale.

En clôturant la rencontre, Me Bashombe a encouragé les femmes à demeurer des actrices de changement, rappelant que la cohésion sociale se construit à partir d’actions quotidiennes, de solidarité et de responsabilité partagée.

Les participantes, visiblement inspirées, ont salué un échange riche, instructif et motivant, marquant une nouvelle étape dans le combat pour une société plus juste, plus inclusive et plus équitable.

La rédaction


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